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Musiciens partenaires

 Saxophoniste de jazz, Doro Dimanta a travaillé avec Archie SHEPP, Abou FALL (conte et danse), Kagni ALEM (théâtre) et différentes formations de jazz. Ses influences sont diverses: musiques traditionnelles africaines, musiques noires américaines et chanson française. Doro Dimanta entretient avec la musique une relation généreuse, inventive, joyeuse et exigeante. Il  transmet, avec passion les « secrets » de la musique qu’il connaît et interprète depuis de nombreuses années. Né au Tchad, instruit dans la culture française, nourri par la musique noire américaine, c'est un vrai métis culturel !

Hassan Abd Alrahman (oud) : Il s'initie au oud (luth oriental) à partir de 1980, et suit des cours à Alep (Syrie) auprès du professeur Nadim Eldarwiche. Il a ensuite joué dans plusieurs formations de musique orientale traditionnelle, oriental-jazz ou celtique. Il est co-fondateur en 2000 du groupe Shezar, au sein duquel il se produit à l'occasion d'une centaine de concerts et de festivals (France, Allemagne, Norvège, La Réunion, Mayotte). Le groupe a deux CD à son actif: "Rimal" et "Zaffé". Hassan a enseigné la musique orientale à Strasbourg et à Mayotte. Il joue également du nay (flûte orientale en roseau), et il est co-fondateur du trio bassma.

Nancy CANEIRO


C'est à Bordeau que Nancy Caneiro exprime pour la première fois son goût pour la musique en commençant à étudier la Flûte à Bec au conservatoire, avant de découvrir le Hautbois. Elle s'écarte de ce chemin pour obtenir une double maîtrise en droits français et allemand dans les universités de Cologne et Paris en 2003. Mais sa passion la rattrape et la pousse à s'installer à Lyon pour reprendre la musique, au conservatoire, dans la classe de César Ognibene. Elle obtient son Diplôme d'Etudes Musicales de Hautbois l'année suivante. Après deux ans de perfectionnement, elle intègre la classe de Jérôme Guichard à Saint Etienne.

En septembre 2007, elle entre au Conservatoire National Supérieur de Lyon.

Elle enseigne le hautbois et la formation musicale à Heyrieux.

Elle donne des concerts avec divers formations, notamment le Petit Ensemble Moderne, qui réunit musiciens et compositeurs pour créer les oeuvres de ces derniers www. omniphone.fr.



Elle forme avec la harpiste Rébecca Féron le duo ::::: ::::::"Les âmes sons" www.les.âmes.sons.free.fr.

Ce duo est né d'un intérêt commun pour le développement personnel qui guide leur démarche musicale. Toutes deux souhaitaient partager plus avec le public, atténuer l'image que l'on peut avoir du concert classique en noir et blanc. Au delà de la performance, chacune de leurs représentations est un moment privilégié avec la musique comme un moyen, pour elles, d'exprimer ce qu'elles sont tout en offrant à leur auditoire une perception fine et jubilatoire du bonheur d'être, là, ensemble.

Nancy a rencontré Emma lors d'un stage que celle-ci coanimait avec Jean Lucien Jacquemet

www-lesvoiesdela voix.fr.

Première soirée, première improvisation convaincante, et, tout de suite, l'envie partagée de travailler ensemble...

Mais laissons Nancy présenter sa version :

"L'accompagnement musical des prestations d'Emmanuelle Bornibus s'inscrit tout naturellement dans ma démarche de recherche personnelle. Tout d'abord, par la richesse de la symbolique des contes, mais aussi à cause de la nature même du défi que représente le fait d'improviser en direct pour accompagner le récit. C'est un moyen idéal de communiquer avec le public d'une façon moins impersonnelle et plus spontanée que dans les concerts, plus interactive aussi. Une expérience très enrichissante ! "

Lucas Bornibus est un pianiste et guitariste au répertoire éclectique. Alors qu’il cantonnait son répertoire classique dans l’interprétation d’un Jean Sébastien Bach qui suffit à combler les plus hautes aspirations, sa pratique intensive du yoga l’a amené à se passionner pour la musique indienne traditionnelle. Il s'est alors formé au chant particulier du nord de l'Inde, au sitar et au surbahar. Sa voix et ses accompagnements musicaux font écho aux rythmes intérieurs et rentrent dans une résonance profonde avec chaque personne de son auditoire. En l’écoutant, les enfants les plus turbulents, les adultes les plus stressés se calment et se mettent au diapason pour savourer les contes indiens avec une attention inespérée. Mais Lucas est aussi un blues man connu dans le milieu des festivals et des artistes inclassables. Laissons la plume à un journaliste admiratif:

 

Lucas Bornibus

La Tribune

"Avec Lucas Bornibus, ce n'est pas une question de gout ni de mode, le feeling nous scotche, on est fasciné par l'énergie qui se dégage de ce grand bonhomme concentré sur son affaire: le blues"

"C'est un grand aux godasses, quarante-sept de pointure, un biologiste défroqué qui vibre de musique. Dire qu'il prend son pied  ferait pléonasme quand on le voit jouer avec, frottant les cordes de sa basse d'un orteil pendant que l'autre pied s'occupe des percus et que les bras sont accaparés par la guitare. Homme-orchestre tendance yogi, qui aime donc à se désynchroniser, Lucas Bornibus est une de ces attractions toujours renouvelées d'un festival fait de gros trucs planifiés et de petites surprises à découvrir".



 

"La Vielle à roue est mon instrument privilégié. Elle m'a charmée par sa capacité à communiquer la joie et par ses qualités pour mener la danse. Transdans, Vielle & Co, le CMT de Ris-Orangis sont quelques uns des partenaires avec qui j'ai plaisir à faire chanter l'instrument.   J'aime également accompagner la musique de la voix. C'est ainsi que je suis en lien avec les passeurs de texte experts en l'art du conte."

Anne Catherine Hurault

Tshering Wangdu est né en Inde dans la région de Darjeeling où ses parents se sont réfugiés dans les années cinquante. Réfugiés dans les années cinquante. Touché par sa personnalité, un maître tibétain lui donne l’occasion d’entrer dès l’âge de cinq ans dans la plus ancienne école tibétaine fondée en Inde. A la fin de sa scolarité , il restera dans cette école prestigieuse pour y enseigner le chant et la musique. En 1994, il forme la troupe « Gangjong Doeghar, ou « Troupe du pays des neiges » qui se produit dans les grands festivals de l’Inde et du Népal. Un beau jour, grâce à un mécène anglais Tshering et sa troupe pourront gagner l’Europe et se produire en Grande-Bretagne, en Irlande, au Pays Bas, en France où il s’installe en Février 2000. Avide de rencontres aussi bien humaines qu’artistiques, Tshering poursuit un travail sur le mélange des cultures en collaboration avec des artistes différents.



Dans le spectacle de conte tibétain proposé par Emma., il chante et joue de divers instruments, offrant ainsi une palettecomplète des rythmes, sonorités et mélodies populaires laïques du Tibet.

 Vicente est née au Chili en 1970. Il passe son enfance entre l’école et les petites classes du conservatoire où il fait du violon pendant trois ans. Le temps passe et l’adolescent se met au piano mais il s'ennuie un peu avec les grands maîtres ou plutôt en répétant les arrangements de leurs partitions pour les petits. Ensuite, arrive l’époque du conservatoire. Le jeune musicien partage son temps entre les salles de répétitions et les concerts « à fond le volume » où il peut donner toute sa mesure. Il réussit le diplôme d’interprétation supérieure en clarinette et part en Europe. Il reste deux ans à Paris où il fait ces premières rencontres avec la musique africaine. Il profite de son séjour à Paris pour se perfectionner à la clarinette avec Alain Damiens (soliste de l’Ensemble Intercontemporain de Pierre Boulez). En 1999, il s’installe à Lyon et participe a diverses projets de musique du monde. 

Rébecca Féron accorde une attention toute particulière à la qualité de la communication, au moyen de ce langage à part entière qu’est la musique. Elle a donc tout naturellement choisi un instrument polyphonique qui, à lui seul,  permettrait d’entrer en contact avec un public. Son désir de donner à la harpe un éclairage personnel l’a guidée dans une recherche de timbres, à travers l’étude de la musique contemporaine, de la composition et de l’improvisation. L’ensemble original Naccara (six harpes, une contrebasse et  percussions) lui a donné l’opportunité de mettre en pratique les fruits de sa recherche  et de concrétiser sa volonté de mettre en mouvement son instrument. Son talent pour les arts plastiques et la sensibilité qui en résulte l’ont conduite à développer la mise en espace et l’esthétique du concert pour en faire un véritable spectacle vivant. L’expression de sa musicalité trouve un souffle nouveau avec la direction d’orchestre, qu’elle étudie désormais à la Haute Ecole de Musique de Genève. Fascinée par la possibilité de façonner une matière sonore et de la transmettre par le simple geste, Rébecca adopte un autre point de vue et tisse des liens entre les musiciens pour initier une création collective.
Le croisement de ces parcours offrant un vaste terrain de jeu, la rencontre des deux musiciennes a été fertile. Les âmes sons évoluent au fil de leurs découvertes pour s’adapter en temps réel au public et lui transmettre leur passion de manière vivante, mettant à profit leur expérience de la pédagogie.  Partageant les mêmes motivations, elles ont développé une complicité hors du commun.

Lucas peut aussi intervenir seul: 0477652764



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